En 2005, Greenpeace demandait à un laboratoire indépendant de conduire une étude sur la composition de 36 eaux de toilette et eaux de parfum de marques parfois emblématiques de la haute parfumerie.
Cette étude intitulée "Parfum de scandale" à mis en évidence la présence d'ingrédients potentiellement dangereux pour l'homme dans la totalité des produits analysés et en particulier les phtalates et musc de synthèse.
En 2005 il n'existait pratiquement pas d'offre alternative de qualité dans l'univers de la parfumerie. La situation est heureusement très différente aujourd'hui ou de plus en plus de marques proposent des fragrances bio ou naturelles de grande qualité développées par des nez reconnus.
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