vendredi 21 mai 2010

N.Y. States of Mind ...



Big Apple inspire les artistes ! Comme Jay Z et Alycia Keys, Honoré des prés déclare sa flamme à New York à travers un triptyque parfumé. Olivia Giacobetti, le célèbre nez de la marque, signe une collection branchée et certifiée bio.
Une ville. Trois parfums : Tubéreuse rhum, Coco-coriandre ou carottes bio. Trois trip new yorkais à porter à même la peau. Embarquement immédiat pour une découverte des parfums de la collection We love NY.



I Love les Carottes
- 50 ml / 76 euros

Who’s that girl ?

Parfum sans-gêne, qui déroute et aiguille sur les filles et garçons avec qui on ne s’ennuie jamais. Cocktail cru, culte, arty et douillet. Dans la wish list des filles instinctives, sans gêne qui sont des connaisseuses, la « itcarotte ». Les carottes c’est l’indulgence, du soleil un matin d’hiver, les cheveux nature, un brunch à New York après les excès de tension et de fun. C’est aussi la promesse d’une happy end couleur d’euphorie par un jour triste et pluvieux. Incisif mais confort comme la confiance dans des valeurs d’ingénuité, d’horticulture. Une piqûre à vif d’odeurs crues. Pour se gorger d’un excès d’allégresse et de santé.

Dans la carotte tout est bon ! Cette merveille rassurante, Olivia l’a initié avec beaucoup d’amour en cuisant, congelant, recuisant les carottes venues d’agriculteurs bio de Harlem et en croisant la crudité du jus. Elle s’émeut de cette diététique olfactive. Elle a créé son carnet de recettes : mixer des graines effeuillées de fleur de carottes qui sentent encore la terre avec l’orange douce, la vanille des Caraibes et le beurre d’iris, son secret. En eau de parfum version rare.

Love Coco - 50 ml / 76 euros

Love Coco, pour inhaler l’extrait pur, épicé, raffiné d’un blanc de lait de coconut en duel avec une coriandre en feuille.

Un parfum libéré qui casse le coco premier degré et met à vif la sève végétale. Ouvre les fibres des sensations : très ravageur, très piquant, très partageur. Déclencheur de passions estivales, avec antidote qui stoppe les effets secondaires et prolongateur de sensations exquises. À porter de préférence en bikini Liberty à Central Park et, pour les baroudeuses inconditionnelles, sur une île inconnue. Duel gourmand, poison, antidote, le juste mélange pour se marier à Manhattan !

L’histoire ? Une héroïne globbeuse, rescapée d’une blessure de mer, traverse la jungle Malaysienne, portée par son boyfriend. Happy End : elle est sauvée dans un village par le lait de latex des hévéas, en cataplasme olfactif. Elle revient avec l’antidote à tous les dangers exotiques.

Vamp à NY - 50 ml / 76 euros

"Peut-on pleurer devant un champs de tubéreuses?" Olivia Giacobetti.

Performance d‘artiste, cousue à même le corps et la peau des fleurs pour s’enivrer d’une femme. Ne plus pouvoir gaspiller, ne plus pouvoir s’ennuyer, pour l’art des nuits nues. « Vamp à NY » cueille un champ entier de nature, tous les baumes de la création, tous les narcotiques, la fragilité et l’ampleur de la volupté en marche dans NY… pas un factice de vamp ! French Couture radicale, apparition éphémère du « jamais vécu ». On est sous addiction : on veut revivre le « jamais vécu », ce sillage animal, vénéneux, sophistiqué, futuriste. Olivia invente une fleur qui ne s’achète pas. Elle la fait sentir dans sa magie de n’avoir, jamais, été sentie.

Flacons et échantillons disponibles sur le site Mon-Parfum-bio.com

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